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samedi 18 octobre 2008

Cusco. Machu Picchu. Canyon de Colca.


Avant de débuter un nouveau récit, je me lance dans une petite parenthèse VISA...Bon, pour les plus compatissants, merci d'être là... pour ceux qui se moquent de nous savoir malheureux au bout du monde, passez le paragraphe, on ne vous en voudra pas!
Tout d'abord, séquence émotion..., ce n'est pas une remise de prix mais presque...MERCI à la maman de Morgan qui a pris du temps et s'est sûrement arrachée des cheveux pour trouver le moyen de nous faire parvenir notre carte définitive... MERCI, également, à Monsieur Bergues (par l'intermédiare des filles) car sans vous, notre carte serait encore bloquée entre les mains de notre conseiller débile (n'ayons pas peur des mots!). D'ailleurs, aurevoir conseiller nullissime, après l'appel musclé au directeur de la banque, notre dossier est curieusement passé dans des mains plus compétentes! Ensuite, je sors les gants, séquence défoulement...qui concerne cette splendide carte provisoire en or massif... Nous avons eu la grande joie de découvrir qu'elle est magnifique dans notre porte-monnaie mais aussi qu'elle ne sert strictement à rien! Impossible de retirer au Pérou avec cette carte. Oh! mais comme c'est pratique... MERCI VISA pour ton efficacité!!!! Nous repartons, donc, dans la machine infernale des appels pour que l'on daigne nous délivrer un peu d'argent...des heures perdues encore entre téléphone et recherche de banques. Je vais arrêter de noircir le tableau car les choses semblent s'arranger peu à peu et normalement, dans quelques semaines, nous serons sauvés.
Ce petit désagrément ne gâchera pas notre semaine à Cusco! Ville, synonyme de pause...
Oui, pour tous ceux qui pensent qu'on se la coule douce: les vacances c'est fatigant! Comme prévu, nous atterrissons à l'école LOS AMIGOS dont le nom est en adéquation avec l'ambiance... Soyons fous, nous prenons toutes les activités proposées de la semaine: cours de salsa, cours de cuisine et enfin quatre heures à se balader dans le vrai Cusco, pas celui des musées et cartes postales , non le vrai, l'authentique Cusco. Changement de décor, on abandonne les hôtels pour une famille péruvienne fort sympathique. Un peu de chaleur humaine...ça fait du bien! Lourdes et Darwin nous accueillent dans leur immense maison, nous avons un étage pour nous! Etonnamment, la femme est une ancienne professeure de biologie et le mari enseigne dans un collège la littérature. Décidemment, on trouve vraiment des profs partout! Le couple nous explique les us et coutumes de leur pays autour d'un maté de coca. Bon, dans cet univers douillet, on est loin de tous ces hommes, femmes ou même enfants travaillant dans la rue en exerçant des professions insensées voire loufoques... Pour n'en citer que quelques unes: loueurs d'abonnement (personnel) de téléphone portable, vendeurs de papier toilette aux chauffeurs de taxi, vendeurs de ficelle au mètre,loueur de pèse-personne, ramasseurs de bouteille plastique, vendeurs de massages péruviens, ou plus classiques, cireurs de chaussure, vendeurs de nourriture dans les bus...que sais-je encore? Chacun essaye de trouver le moindre petit boulot pour s'en sortir...
Nous découvrons lors de notre premier jour d'école, notre prof Ursula qui s'avère être un vrai phénomène et très compétente. Détente et dynamisme sont les maîtres mots! Un vrai plaisir...même si revenir dans la peau d'élève est un peu déstabilisant au début...Midi: la cloche sonne, nous visitons Cusco et ses magasins. Grosse déception pour ces derniers car tout se ressemble et les habitants se jettent, littéralement, sur le moindre petit touriste qui passe! La ville est, par contre, magnifique.

Sa place principale est bordée de deux splendides églises. Chacune renferme d'étonnantes structures et richesses. Le guide sous les yeux, on apprend l'histoire de ces édifices bien souvent bouleversée par les tremblements de terre.. La ville a gardé un charme incroyable, hésitant entre l'architecture espagnole et inca. Après une longue journée de visite, rien de tel qu'un cours de cuisine pour se remettre en forme! Fort agréable, le chef nous enseigne la recette de l' Ajo de gallani. Bon évidemment, pas de surprise c'est encore du pollo!! avec une petite sauce légèrement pimentée comme dirait le cuisinier... LEGEREMENT!!! J'ai cru perdre mon oeil moi! Quel rapport me direz-vous? ( et vous avez raison) Disons que je n'ai rien trouvé de mieux que de me frotter un oeil alors que je venais de couper ce soi-disant piment doux!!! Après une heure de cuisine, il faut passer à table! Hum hum, c'est assez drôle de terminer ce plat qui arrache comme si de rien était! Curieusement beaucoup d'assiettes étaient encore pleines...( Julien on t'a gardé quelques restes...) J'ai préféré, de loin, le cours de salsa, moins dangereux pour moi! Vendredi, après notre dernier cours d'espagnol ( non... on n'est pas bilingue), un guide nous mène, donc, à la périphérie de la ville, loin du brillant et touristique Cusco. On rencontre, alors, des fabricants de briques de terre. La majorité des maisons au Pérou sont construites avec un mélange d'eau, d'argile et de paille qu'un homme recouvert de boue, moule et laisse sécher au soleil. Ensuite, nous partons à la visite d'une école excentrée où les professeurs sont, apparemment, là par dépit et manque de motivation et où quelques poules se baladent dans la cour. Il y a une grosse différence entre les établissements du centre et ceux éloignés. Pour résumer, les enfants défavorisés n'ont pas le droit à une éducation aussi sérieuse que ceux issus de familles aisées du centre ville. Ah oui, petit détail que Lourdès nous avait appris, ils sont quarante cinq par classe ...Amis collègues si vous êtes motivés... Notre troisième rendez-vous à pour cadre une Chicheria. Pas la peine d'en chercher une au Pérou, si vous ne savez pas que l'enseigne se résume à un manche à balai au bout duquel se trouve un sac en plastique rouge ou bleu.

Pourquoi pas après tout? Notre petit groupe pénètre dans ce minuscule bar en fumée. Quoi? Il n'y a pas d'interdiction de fumer dans les lieux publiques? Je vois, déjà, les valises prêtes de certains fumeurs. Non, il n'y a pas d'interdiction de ce genre mais cette ambiance est surtout dûe à la marmite où fermente la chicha. Quelques Cuy se promènent près du feu, ils ne tarderont, d'ailleurs, pas à le voir de plus près... Des hommes attablés viennent là après le travail. Notre guide nous explique, alors, un peu l'histoire de la Chicha. Avant d'avaler cette boisson à base de mais, il faut en verser un peu par terre pour la Pachamama (terre nourricière). Ah! On lui donne vraiment de tout à cette Pachamama, de petites plats cuisinés aux foetus de lama enterrés maintenant c'est de l'alcool! Mais toutes ces ordures par terre sur toutes les routes ou villes...est-ce qu'elle apprécie vraiment la Pachamama? Enfin je m'égare, mais c'est vrai qu'on ne comprend pas trop toute cette pollution alors qu'ils vénèrent tant leur terre! Bon revenons au sujet, la chicha n'est pas mauvaise mais on en boirait pas tous les jours non plus. (Bon je vais être honnête, j'ai seulement trempé mes lèvres et j'ai laissé boire ce pauvre Morgan...et ce n'était pas un petit verre...) C'est vraiment instructif et riche de pouvoir pénétrer dans cet endroit caché derrière un bout de tôle. Notre dernière étape est le marché de San Pedro, cette fois, au coeur de la ville. On pourrait le comparer à un de nos supermarchés sans toutes les normes françaises... Des cochons entiers, des poulets aux grises mines, des yeux de boeuf, des grenouilles, du mais et des pommes de terre sous toutes leurs formes, des herbes médicinales, des fleurs pour honorer la vierge enfin bref tout ce que vous voulez! Après cette journée enrichissante, nous préparons nos sacs pour le week-end. Attention, ce n'est pas une fin de semaine comme les autres car dimanche nous serons au mythique Machu Picchu!!!
Levés tôt samedi, nous partons pour le joli village d' Ollantaytambo qui a gardé une architecture inca intacte. Un temple et ses terrasses perchés dans la montagne domine la cité qui est vraiment superbe.

On s'y promène avec plaisir. Mais on est aussi venu là pour prendre un train. Tiens, ça faisait longtemps... Le luxe des wagons est à la mesure du prix que nous a goûté le billet!


Et oui ça se paye le Machu Picchu! Le trajet est ponctué de regards suppliants à l'extérieur qui quemandent à manger. Ce sont des gamins aux habits troués et ils attendent qu'on leur lance des sandwiches ou bonbons, c'est difficile de ne pas détourner les yeux. D'autres préfèrent jeter leur reste, heureux d'avoir accompli une bonne action... Nous arrivons à Agua Caliente dans la soirée. Le rio Urumbamba essaye de se frayer un chemin au milieu de tout ce désordre d'hôtels et restaurants. Des ponts à la chinoise, une ambiance farwest avec les rails au milieu de la ville...curieusement, on aime bien cette ville, certes très touristique, mais, sans aucun doute, atypique. On se couche tôt car le lendemain, le réveil sonne à quatre heures du matin. Pourquoi si tôt? semblez-vous mumurez...Moi aussi je l'ai murmuré bien fort! Tout simplement pour faire partie des quatre cents premiers fous à lier qui auront le droit de monter le Huayna Picchu. Alors, si vous regardez bien les photos classiques du Machu Picchu, c'est cette petite chose qui n'a l'air de rien au premier abord...ridicule même! Venez voir si c'est ridicule de plus près!!!

Non, l'idée ne vient pas de moi, rassurez vous, je n'ai pas tant changé... mais elle vient de mon cher et tendre à la ténacité légendaire... Lampe frontale et sac à dos nous montons ces interminables marches (j'ai bien souvent maudit les incas). A six heures du matin, on se trouve à l'entrée du site. Dans une heure, en courant vers la deuxième entrée, nous aurons la chance d'admirer le Machu Picchu du plus haut possible. A sept heures, c'est parti pour une nouvelle ascencion. Des marches... toujours et encore des marches! Le jour s'est levé, mais capricieux, il est chargé de nuages qui nous empêchent de voir clairement les lieux. La montée dans cette brume et la découverte à demi-voilée du site gigantesque est vraiment magique. Arrivés au sommet, comment ne pas rester un long moment à regarder cette cité incroyable, oubliée tant d'années et coincée au coeur des montagnes? Les efforts étaient bien justifiés. De la vallée, on ne soupçonnerait pas une telle chose. Je pourrais en parler, encore, pendant des heures mais je laisse ce privilège à Morgan car, pour lui, ce site revêt une dimension toute autre que la mienne et je sais qu'il y tient...

Hum hum... c'est à moi là..!!?? Bon.. alors c'est vrai que ce Machu Picchu, il est particulier pour moi... à vrai dire... c'est même le Pérou tout entier qui est particulier!!! J'ai presque envie de dire que je suis né avec!!
Mes parents y sont allés il y a plus de 30 ans et j'ai éte entouré de flûtes de pan et de photos de ce pays accrochés au mur. Et l´une d´elle était le Machu Picchu... à bien y réfléchir, je suis sûr qu elle doit encore trôner quelque part dans un coin de la maison! Si vous rajoutez à cela le fait qu´à chaque fois que vous parlez de voyage à mes parents... Ah! le Pérou, ohhh et puis le Machu Picchu qu est ce que c est beeeeaaau, et puis la locomotive pour y aller tu te rappelles? Où tu montes dans le wagon crasseux avec les habitants, entourés de poules... tu te rappelles!!??.. et patatietpatata... bref... j ai éte bercé par ces histoires de poules et compagnie toute mon enfance... du coup arriver là,... comme ça... alors que j´en avais pas vraiment pris conscience... bon c est sûr, comme vous l´a dit charlotte, le coup de la loco et des poules maintenant on oublie mais le Machu Picchu, lui c´est sûr... il a pas bougé... il trône majestueusement en haut de cette vallée découpée et verdoyante si bien que la vue semble complètement irréelle. Il semble devoir être apprivoisé pour l'apprécier dans toute sa splendeur: tout d'abord le matin, il revêt un manteau de brouillard qui donne une ambiance très mystique mais qui nous empêche de le contempler vraiment ; Et puis,... peu à peu... il hésite et se découvre. Enfin, lorsque le soleil est sur le départ et que la majorité des touristes, eux, sont déjà dans leur train, il prend des couleurs chaudes qui font ressortir toutes ses secrets et on l´a pratiquement pour nous tout seul... Wouahou...
On redescend le sourire aux lèvres et des images plein la tête qui nous font oublier la douleur de nos muscles épuisés par tous ces chemins parcourus dans les mêmes pas que mes parents et les démengeaisons insupportables des moustiques qui ont élu pour domicile ce lieu si unique...

Donc, je reprends... Après ce week-end fort en émotion, nous partons pour le canyon de Colca, plus au sud. C'est l'un des plus profonds du monde. Le trajet en bus, toujours très long, est assez vertigineux! Bon, on était censé visiter de jolis petits villages sur le chemin, mais à part des bouts de tôle et de la terre on a rien vu de très spectaculaire...Le soir, nous arrivons dans le village de Cabanacondé, un peu plus mignon. On se renseigne pour descendre tout au fond du canyon où se trouvent des oasis et piscines naturelles aux sources chaudes... Après deux heures et demie de descente, on se rend compte que le site n'a pas trop gardé de son naturel et est devenu un complexe touristique...Et puis c'est de l'eau plutôt tiède...Un peu dommage, c'est vrai que la déception se fait sentir...Serions-nous devenus un peu blazés après le Machu Picchu??? Bref, quatre heures de montée plus tard, sous un soleil de plomb, nous retournons à ce petit hôtel sympathique où un cochon derrière le mur ne cesse de nous témoigner sa présence... Vraiment chaleureux!
Aujourd'hui, nous nous trouvons à Arequipa, ville ayant gardé son charme coloniale, et nous repartons ce soir pour Pisco.
Je vous laisse, à très vite pour le nord.
Charlotte

21 commentaires:

Anonyme a dit…

Quelle incroyable contrée!C'est formidable pour Morgan de remarcher dans les pas de ses parents,de voir de ses yeux à lui ce pays qui sans doute était comme un rêve dans sa tête:un rêve devenu réalité!et qu'il partage avec toi ma Charlotte.....J'espère qu'un jour à votre tour vous raconterez cette belle aventure à......mais ça c'est une autre histoire!...Prenez bien soin de vous et à bientôt

Anonyme a dit…

Que pensez-vous d'un foetus de lama comme remerciement pour les multiples complications causées par l'incompétence de votre banquier??!!
En tout cas, ça semble assez facile à oublier malgré tout lorsque l'on regarde vos photos....
Je suis d'accord avec toi Morgan: WAHOUUUUU....
Mais ne serais-tu pas devenu un peu "Pouet" avec toutes ces émotions!!!
Puisque vous êtes à Arequipa, allez vous faire l'ascension du Misti ??
Fanny

Anonyme a dit…

He ben, j'vais p'têt prendre mon sac à dos moi aussi !!
Que de paysages merveilleux ... Charlotte nous concoteras tu un petit plat typique à votre retour après ces cours de cuisine ? sympa d'ailleurs comme idée !!
j'suis rassurée quant à la coupe de Morgan (peut être même un peu décue après des photos prometteuses envoyées par un ... copain ?!!)
Bises à tous les 2 et continuez à bien en profiter !!
Sophie

Anonyme a dit…

Et bien dire que papa et maman sont passés par là... Il nous ont tellement racontés ce voyage... ça doit faire quelque chose! Mais il me semble que papa n'est pas complètement parti du Pérou...En effet j'ai eu l'impression de l'apercevoir à un moment dans le récit de charlotte! Vous vous souvenez l'homme recouvert de boue qui construit des maisons avec de l'eau de la paille et de l'argile?! Et bien cette homme c'était papa Morgan tu l'avais pas remarqué? Pourtant tu devrais savoir qu'il fait la même chose à la cotellerie dans ça grange pour réparer le plafond... Tu étais peut être déjà parti! Il manquait juste les deux poules... Quoi qu'il me semble les avoir vu aussi celles-là!

Gros bisous à tous les deux!

Anonyme a dit…

L'histoire recommence, j'avais hâte !Privée depuis une dizaine de jours de vos aventures croquantes, croustillantes, piquantes, hilarantes et j'en passe ! vous voilà donc de retour dans nos vies avec toutes ces séquences extraordinaires, ces magnifiques photos,les "hum/hum" et autres onomatopées de conteuse de Charlotte et la séquence émotion "souvenir/souvenir" de Morgan, sur les traces de ses parents !Super, le monde à "porter" de mains, des yeux et avec un intérêt supplémentaire, celui de nous rapprocher de vous !des bises d' un petit coin de France...le sud-ouest

Anonyme a dit…

Problème de carte mis à part, vous vivez une superbe aventure, Morgan marche sur les pas de Papa et Maman, merci pour ces nouveaux récits.
Je commence à être inquiet, après avoir apprécié tous les petits plats et dégusté la chicha, vous avez gouté les billets de train ! Dur dur le Pérou
Patrick

chiquito a dit…

Merci à tous pour vos commentaires! Maman...j espere bien qu on racontera tout ça un jour à... mais les laisserons-nous partir comme ça??? je ne serais pas trop rassurée moi!! je rigole...
Sophie, pour la cuisine... je ne vais pas te faire le même plat... franchement on va peut être attendre les cours de cuisine asiatique pour cela...
Ronan...le parallèle est bien trouvé... même si au Pérou, il n'y avait pas de poules à côté des constructeurs de briques...c'est plus roots en sarthe!!!
Enfin ma bibiche, ton petit coucou du sud-ouest me fait toujours autant plaisir et je vais rajouter des petits hum hum en plus rien que pour toi!!!
grosses bises
Charlotte

chiquito a dit…

T inquiete pas Patrick, le Perou n est pas si difficile que ca, bien que le mot "deguster", je suis pas sûr que ca soit super approprié pour la Chicha! (c etait plutot ambiance "les bronzés" avec le crapaud...), en ce moment c est juste les heures de bus qui sont un peu longues... c est entre autre pour ca que j ai zappé le Misti à Arequipa.. mais je compte bien me rattraper très prochainement!! (à suivre donc...)Sinon le coup du gars dans la boue... c est clair qu il y a avait un faux air..! et les poules, je confirme, c etait le meme modèle que celles de la Cotellerie!

morgan

Marie Ludo a dit…

Bonjour Charlot Morgan et Chiqito
sa à du étre inprétionan le Machu Picchu et pas bien sans la carte bencère.

gros bisous
Rachel et Mathilde
CE1 fay

Anonyme a dit…

Bravo pour cette ascension magique et certainement éprouvante..à priori ça en valait le coup ! Vous faites vraiment de la concurrence à Nicolas Hulot avec "vos séquences émotion"...et "vos séquences découverte" et quoi d'autre ... !
Charlotte rassure toi je suis toujours sur bordeaux mais je travaille à Pugnac, là est la grande difficulté ! Mais ne venons pas gâcher ce beau moment d'évasion..
bisous ,à tous les deux et bon cours de salsa ..par contre à tout nous raconter, va falloir assumer à votre retour, jme comprends !

Anonyme a dit…

Que nous paraissent hors de propos nos petites préoccupations quotidiennes...grâce à vous un peu de recul, d'envol (bien qu'au départ l'ascension ressemble plutôt à un chemin de croix ...)
J'espère que vous monterez une superbe expo avec dégustations à votre retour (les photos sont magnifiques..) ... soyez sûres qu'on vous attend au tournant avec impatience !!!

chiquito a dit…

Oulalala... doucement pas trop de pression les filles!!! On va peut etre reste au Perou nous!!!
Grosses bises
Charlotte

Anonyme a dit…

Bonne idée, ici c' est pas le Pérou
Mister Winter arrive à grand pas et les couleurs de l' automne sont parterre ! peut-être pas dans la Sarthe ! il me semble que lorsque nous venions vous voir à la Toussaint, la forêt était encore magnifique ! tiens au fait en parlant du pays des rillettes, on entend plus le papa/poule, alors Juanito tu te caches où ? mais c' est vrai, Noémie m'a dit la dernière fois "maman, le pays des bisounours" et oui, il faut bien que les papas travaillent, que les enfants rêvent un peu et voyagent, et que les mamans attendent, tricotent et détricotent, pauvres Pénélope ! aller les Ulysse au rapport et "ksasaute"à la prochaine et des bises tout plein de grd-mère

chiquito a dit…

c'est vrai ca, il est ou Juanito!!!

Anonyme a dit…

Et fafa,et "narbé",et Françoise,michel,guylaine,catherine,les nombreux cousins et cousines?allez-y. venez voyager avec nous et avec eux!bisous à tous.Un+particulièrement à mon collègue retraité de l'éducation nationale...un dénommé Jeannot!Bon voyage àtous!!!!!!!

Anonyme a dit…

Narbé, alias bada, est excusé, le pôvre !il ne supporte pas cette machine ! mais rassurez-vous, il est derrière mon épaule quand je lis et comme il est beaucoup plus doué que moi en géographie, il en profite pour me donner des leçons ! Enfin, la retraite approche, il va pouvoir s' y mettre, surfer sur le net, c' est quand-même moins éprouvant pour nos vielles carcasses que sur les grosses vagues de Lacanau !Bon, alors vous êtes où là précisément vendredi 24 octobre à 19 h ? je vous embrasse et à bientôt les p'tiots

Anonyme a dit…

Vous avez vraiment de la chance de réaliser votre rève... ça à l'air passionant toutes ces rencontres, ces paysages...

Bon sinon pour l'S.V.T.on va dire que vous nous manquez monsieur c'est... différent !

Sur ce bon voyage !

Anonyme a dit…

Ce soir Bibiche est avec nous ,et nous ne résistons pas à venir discuter un moment avec vous.Toujours pas de récit donc à nous de vous faire réver:dur dur!!
Mmmm!la bonne soupe au potiron de la chalosse,fromage noix et vin du pays ça vous excite au moins les papilles!!Sinon quoi vous dire ,nous sommes en periode de vacances,temps "des gueux" comme dab.On vous embrasse en attendant les dernières nouvelles.

chiquito a dit…

Ca m a l air tres bon cette petite soupe!! Coucou les tantines, oui bon c est vrai en ce moment il n y a pas grand chose a vous mettre sous la dent... mais ca ne saurait tarder... Nous sommes actuellement en Equateur et ce pays nous plait deja enormement!!! on aurait peut etre du y consacrer un peu plus de temps...
Grosses bises au sud ouest!
a tres vite
lolotte

Anonyme a dit…

Avec notre potiron on va faire peur à bernard.On va lui découper de grands yeux effrayants,une bouche d'ogre....(arthur)Et moi avec la chair de cette pauvre citrouille décapitée,je la ferai bien aussi cette petite soupe...pour la partager avec mes deux petites soeurs qui se marrent bien à St sever!Bishouuuuuu!ben quoi ?c'est bientôt Halloween!!!!!!

Anonyme a dit…

Retour à la case villenave avec les 2 landaises, petit feu de cheminée avant redépart via cette fois-ci le Bouscat.Nous allons continuer notre parcours gastronomique, la barre est très haute !Et oui, nous n' avons rien de mieux à faire que manger, mais le mot est faible car nous sommes, avec l' âge devenues de fins gourmets !!je rigole bien sûr !Vous voyez pas de quoi fouetter un chat ! donc vivement de nouvelles aventures de l'équateur, puisque ça vous plait, ça va nous enchantait ! des bises des tantines et de Marinette